@article{article_59813, title={ROUSSEAU ET LES FEMMES}, journal={Çukurova Üniversitesi Sosyal Bilimler Enstitüsü Dergisi}, volume={14}, pages={427–440}, year={2005}, author={Yönten, Yrd.doç.dr.uğur}, keywords={Jean-Jacques Rousseau,les femmes,l’amour,les admiratrices}, abstract={<p>Dans cette étude, nous avons cherché à étudier les relations de Rousseau avec les femmes. L’écrivain, qui a perdu sa mère quand il était un petit bébé de quinze jours, a toujours voulu être proche des femmes. Il a aspiré à être remarqué, être aimé, être caressé par elles. S’il a aspiré à tout cela, c’est parce qu’il avait perdu, dès sa petite enfance, sa mère et qu’il avait dévoré avec son père presque tous les livres galants. C’est en Mme de Warens qu’il a trouvé un supplément de l’affection maternelle qui lui manquait toujours. Bien qu’il ait de temps en temps des sentiments charnels pour elle, l’affection maternelle qu’il a trouvée en cette femme a toujours primé. Rousseau est à la fois proche et loin des femmes. L’une des causes de ce paradoxe est la timidité dont il ne se débarrassait point pendant qu’il était entouré des gens surtout des femmes. La deuxième est la conduite qu’il a adoptée dans ses relations avec les femmes: les sentiments charnels n’ont guère de place dans son désir d’être proche d’elles. C’est pour cette raison qu’il n’a jamais pensé à les séduire bien qu’il ait toutes sortes d’occasions. Ce qui est important pour lui, c’est d’être proche des femmes et d’être remarqué par elles.  <br /> </p>}, number={1}, publisher={Cukurova University}